Attention Danger Écrans Formons Informons

À voir ou à lire:

Nicholas Kardaras : "Hypnotisés Ecrans et cocaïne : mêmes effets sur le cerveau des enfants" 12/02/2020 chez Desclée De Brouwer

 

 
   

Sabine Duflo : https://sabineduflo.fr

Collectif surexposition écrans: http://www.surexpositionecrans.org/

Dr. Anne-Lise Ducanda:

https://youtu.be/9-eIdSE57Jw

Association pour l'éducation à la réduction du temps écran: http://www.alertecran.org/

Jeanine Busson: http://www.enfanceteledanger.fr/page681a.html?id=1

Michel Desmurget

  1. TV Lobotomie : La Vérité scientifique sur les effets de la télévision, Max Milo Éditions,
Mansfred Spitzer :Les Ravages des écrans. Les pathologie à l'ère numérique, l'échappée, 2019
Christian Marendaz : Du regard à l'émotion: la vision, le cerveau, l'affectif, les Essais du Pommier!,2009
Bruno Harlé :  Intensive early screen exposure as a causal factor for symptoms of autistic spectrum disorder: The case for «Virtual autism» 
Karim Naït-Medjani: : la désorganisation totale ou partielle du réseau neuronal du mode par défaut (donc de la pensée réflexive) et de la chronobiologie", dû à une surexposition aux lumières (comprenant tous types d'écrans) et aux sons artificiels, surtout avant 3ans.  Article de juin 2018

 

 

 

 

 

 

 

 



Cette association a pour objectifs :
  • Alerter sur la surexposition à l'artificiel (surtout chez les mois de 7 ans) en proposant, au niveau international, le défi 10 jours sans artificiel. Dans un premier temps l'artificiel comprendra la gestion des écrans, des lumières et sons artificiels, puis par la suite les problème liés à la sédentarité, donc le manque d'activité physique, la gestion du sommeil, de l'alimentation, du tabac, de alcool, etc. Il se base sur celui de la semaine sans télé, créé en 1994, par Janine Busson en France, pour l'étendre à l'ensemble de l'artificiel et se ponctura par des recommandations de saines habitudes de vie étendues au moins jusqu'à 25ans, bien au delà des 1000 premiers jour préconisés par l'OMS, qui pour nous sont vitaux mais pas suffisants. Ce sont des milliers de recherches (dont certaines disponibles dans les livre de M. Desmurget et Mansfred Spitzer ou sur le site de Collectif Surexposition écrans, ci-dessus) qui le prouvent : les écrans, certes oui, pour servir, mais non pour détruire le développement de l'être humain et toutes ses relations avec son environnement.
  • La création du Collectif international surexposition à l'artificiel (C.I.S.A. ou I.C.O.A. en anglais) qui débutera son premier défi sans artificiel, du 20 au 30 octobre le 2020 en Algérie, en association avec l'organisation Algérienne de Protection et d'Orientation du Consommateur et de son Environnement. Ce défi sera proposé à l'ensemble des pays d'Afrique, notamment au Burkina Faso, Togo, Maroc, Tunisie, Lybie, Egypte, Sénégal, Congo, Mali, Comores, Niger, Somalie, etc. La France sera un partenaire privilégié parmi les pays non Africains. Partenaire uniquement avec des organismes, associations, ou personnes physiques sans aucun conflit d'intérêt notamment avec ceux de la  politique ou de l'économie du numérique.
  • Aider au mieux le développement de la pensée réflexive (réseaux neuronal du mode par défaut), entre 35 et 40 ans pour maturer, en prenant en compte des facteurs épigénétiques  (surexposition aux écrans, lumières et sons artificiels, alimentation transformées et ultra transformées, stimulations sensorielles humaines et naturelles, saines habitudes de vie, etc.), la chronobiologie de l'être humain avec des activités à visée philosophique dès le plus jeunes âge.
  • Faire savoir qu'aucun projet de quelque nature qu'il soit ne pourra jamais se développer de façon efficiente tant que "les facteurs Lumières (dont font partie tous les types d'écrans) et sons électroniques " dans leur globalité ne seront pas pris en compte. Par conséquent réaliser que ces derniers occupent une place centrale dans la vie quotidienne des enfants comme des adultes, en connaître les retentissements sur le développement cognitif, psychologique, émotionnel et intellectuel, pour mieux en combattre les effets négatifs.
  • La prise en compte des différences liées au sexe, à l'âge sur l'impact des écrans et de leurs sons sur touts nos systèmes sensoriels [dont le plus important la somesthésie car on peut vivre en étant privé des autres systèmes sensoriels (cécité, surdité, agueusie, anosmie), mais la privation des stimulations somesthésiques provoque des troubles psychologiques majeurs et irréversibles.)]et de perceptions : vue, audition, goût, olfaction, touché (pression, étirement, effleurement, torsion, vibration…), perception haptique, baroception ,  viscéroception, kinesthésie,  proprioception, équilibrioception (dont statorécepteurs), thermoception (profonde et cutanée), nociception (récepteurs mécaniques, thermiques, chimiques, polymodaux, silencieux, récepteurs cutanée de la peau, somatiques des articulations et des os enfin ceux des organes viscéraux), et l'écholocalisation pour ceux qui l'utilisent.
  •  prise en compte des effets stroboscopiques, des images rapides et des sons électroniques notamment dans tous les dessins animés récents comme sur des chaines "dites" pour enfants comme Toyor El Jannah, Karamesh etc.
  • Rappel des droits internationaux de l'enfants: tout ce qui est destiné à l'enfant doit lui être adaptés 
  • Mettre en place un projet pédagogique à l'échelle internationale, destiné à tous (surtout les plus jeunes) 
  • La création de collectif intercontinental surexposition à l'artificiel permettant
  • de leur donner, en lien étroit avec leurs parents et tous les autres éducateurs, les outils pour devenir des êtres épanouis psychologiquement, cérébralement et humainement, de devenir des êtres responsables, éclairés et sereins. De combattre l’Ignorance, les aprioris, les idées fausses, les clichés, les préjugés, les pathologies, véhiculés ou générés, dans notre société par les écrans sans les exclure pour autant et les utiliser à bon escient. De contribuer à une vie sociale et citoyenne paisible et plus harmonieuse, où chacun pourra trouver sa place quelles que soient ses idées et ses croyances au sein de la cité et de la République. D’insister sur l’importance d’avoir une bonne hygiène de vie (attention, affection, sommeil, alimentation, gestion du stress, activités physiques et cérébrales…)
  • Faire savoir au plus grand nombre qu'une partie de la population française et mondiale, de façon volontaire ou involontaire est, depuis de nombreuses années déjà, éduquée sans télévision, une gesion drastique des autres écrans et se maintient  dans de très bonnes conditions cognitives et psychologiques et qu'en rien un contrôle et une maîtrise des écrans n'est synonyme de vie moyenâgeuse, bien au contraire.
  • S’appuyer en premier lieu sur les parents, mais aussi sur les professionnels de l’enfance (neuroscientifiques, gynécologues, pédopsychiatres, pédiatres, psychiatres, médecins généralistes, psychologues, neuropsychologues, éducateurs, assistantes maternelles, enseignants, philosophes, animateurs, etc.) pour décider ensemble d’actions concrètes à mener, à titre individuel ou collectif. S’inspirer d’études scientifiques rigoureuses et fiables et d’initiatives ayant fait la preuve de leur efficacité, en France ou dans le monde.
  • Mettre à la disposition de tous, les outils, les moyens et méthodes pour y parvenir : dossiers de presse, site internet, permanences d’informations et de conseils, documentation, organiser des débats, réunions, conférences afin d’échanger, de s’informer, de discuter des difficultés que l’on peut rencontrer dans l’éducation de nos enfants, surtout face à la télévision, aux publicités, à l'internet, aux réseaux sociaux, aux tablettes, aux jeux vidéos, aux smartphones, etc.
  • Développer la connaissance des méthodes existantes ayant fait leurs preuves pour proposer une alternative aux écrans et s’appuyer sur les structures locales et les compétences de chacun : nouvelles pratiques philosophiques (notamment de la petite enfance jusqu’au lycée), jardinage (sous toutes ses formes), bricolage (très stimulant pour la motricité manuelle), ciné-clubs (permettant la verbalisation des émotions et la compréhension du mode de fabrication des images), prêt/échanges de jeux de société, ateliers artistiques (cirque, musique, danse, théâtre…), réhabilitation de "l’ennui" comme source de créativité, relaxation/détente, base du développement du réseaux neuronal du mode par défaut.
  • Se rapprocher des Institutions (gouvernement , ministère, mairie, Conseil Général, Conseil Régional…), des professionnels (maternités, PMI, crèches, écoles, collèges, lycées, Centre Municipal de Santé…) pour mettre en commun les objectifs, les talents et les expériences nombreuses déjà menées dans le domaine et fédérer toutes les compétences utiles.
  • Proposer d’appliquer des  méthodes d’apprentissage basée sur les neurosciences comme celle proposée par «NeuroSup» approuvée par l’Éducation Nationale  française à l'ensemble du corps professoral volontaire mais également proposer un plan d’action simple pour tout le monde, afin d’entamer une vie qui prendra en compte les facteurs lumières (tous les écrans) et sons artificiels.